Les sept Fur - Page 2



 
AccueilPortailRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

 

 Les sept Fur

Aller en bas 
4 participants
Aller à la page : Précédent  1, 2
AuteurMessage
Albus Dumbledore
Fonda. MH Rpg
Albus Dumbledore


Nombre de messages : 1307
Age : 33

Pensine
Gallions:
Les sept Fur - Page 2 Left_bar_bleue0/0Les sept Fur - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Année d'étude: /
Sorcier de niveau: 5

Les sept Fur - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Les sept Fur   Les sept Fur - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Mar - 19:01

Chapitre 7
Vers Corseriga






« Vous vous souvenez de ce que Tebazile nous a dit hein? »

Tous répondirent oui de la tête à Giatus. Le plan était peut être un peut compliqué mais chacun savait ce qu’il fallait faire pour arriver tranquillement à Corseriga. Évidement cela prendrait du temps, plus pour certains que pour d’autres. Les premiers à arriver serait Yoss et Giatus et les derniers Eltumus et Helodric. Tous allait partir à deux sauf Argantuo qui lui, voyagerait seul mais il commençait à s’habituer donc cela ne le gênait pas plus que ça. Tous c’était levé de bonne heure pour pouvoir partir avant le déjeuner. Asphin avait eu du mal mais Piervos l’avait aidé à faire ses affaires pendant qu’il mangeait pour reprendre des forces. Maintenant tout été prêt, à temps comme d’habitude, et chacun se répétait ce qu’ils devaient faire dans leurs têtes. Ils répétèrent encore une fois:

« Bon alors moi et Yoss on arrive en premier en prenant le chemin le plus court et en prenant un cheval chacun. On trouve la taverne Lacarphon et l’Oncle Pet » Commença Giatus.
« Moi je prend le chemin de Vez tout seul mais je redescend pour rentrer par le nord » Continua Argan.
« Moi je t’attendrais à l’entrée et je te mènerais à l’auberge de Pet. » Rectifia Yoss.
« Moi je prend Asphin sur mon cheval, on va à Iceot, on le fait soigner puis on arrive par la porte Sud. Là Yoss nous attendras et on rejoindra les autres. » Se rappela Piervos.
« Nous deux » Dit Helodric en montrant Eltumus et lui. « On va vers le nord, on passe derrière les montagnes de Damid et on arrive en dernier à la porte nord. Normalement tout devrais bien se passer…»

Tous affirmèrent et Giatus reprit:

« Ya aucune raison pour que ça marche pas. Piervos si quelqu’un demande comment Asphin c’est blessé il c’est baigné dans la mer et il c’est fait attaquer par un animal dont vous ne connaissez pas l’existence!! »

Piervos acquiesça de la tête puis regarda Asphin. Celui-ci faisait tout pour aller bien et sa plaie ne saignait plus mais on voyait bien qu’il était faible et il ne fallait pas prendre le risque que la plait s’infecte. Chaque groupe avait préparé son cheval, ou ses chevaux dans le cas de Giatus et Yoss,et étaient prêt à partir. Piervos aida Asphin à monter sur le cheval avant de s’installer lui-même derrière lui pour tenir les rennes. Quand tous furent prêt à se mettre au galop il se souhaitèrent bonne chance et chacun partirent vers une direction opposé. Pendant plusieurs kilomètres ils pouvaient encore se voir, voir la traîné de poussières que les chevaux faisait mais ensuite plus rien…




Giatus et Yoss avait déjà pas mal avancé mais c’était assez normal. Ils avaient chacun un cheval et ceux-ci étaient en pleine forme. Il était vrai qu’Argantuo n’avait pas vraiment dut leurs faire faire beaucoup d’exercice ses deux derniers jours. Les deux jeune homme ne rencontrèrent rien ni personne sur leurs chemins ce qui ne les étonna pas vraiment mais ce qui était tout de même dommage. On avait l’impression que le pays était désert ou bien que personne ne voulait sortir de chez sois mais rien de surprenant à cela car avec les moyens qu’Igero avait dut mettre en œuvre depuis qu’ils c’étaient réunit il valait mieux ne pas être suspecté d‘être l‘un des sept Fur. Quand la nuit commença à tomber Yoss et Giatus s’arrêtèrent. Ce qu’ils avaient traversé ressemblait à une savane et ils c’étaient arrêté prêt d’un grand arbre, il y en avait mais ils étaient très espacé... Les deux attachèrent leurs cheval à une branche puis ils s’installèrent et allumèrent un feu bien qu’ils mirent plus de temps que si Eltumus avait été là. C’était lui qui avait allumé tous les feux depuis qu’ils c’étaient retrouvés sauf quand ils étaient sortis du marécage et que Argan en avait fait un en les attendant. Yoss n’avait pas beaucoup parlé pendant le trajet, il n’était pas du genre à parler ce ui était l’inverse de Giatus quand il y avait quelque un pour discuter avec lui… Il voulait essayer de lancer la conversation.

« On a bien avancé aujourd’hui »
« oui… »
« En plus les chevaux ne sont pas trop fatigué! »
« Moi si… »

C’était peine perdu Yoss ne répondait que vaguement et il avait l’air d’être dans ses pensées. Ce n’était pas de la mauvaise volonté mais en ce moment même il essayait de trouver où se trouvait l’auberge Lacarphon dans la ville où il avait grandit mais rien ne lui venait à l’esprit. Il était pratiquement sûr de ne jamais être passé devant sinon il aurait sut la retrouver. Yoss, contrairement à tous les autres, ne c’étaient jamais perdu dans la ville. Certe il ne connaissait pas tout les endroit de Corseriga mais quand il allait quelque part il savait toujours en revenir. Peut être était ce parce qu’il avait grandit dans un labyrinthe géant et qu’il s’y était baladé depuis qu’il savait marcher. Il avait appris au fil du temps à reconnaître son chemin… Tout en pensant il s’assoupissait contre le tronc de l’arbre s’endormant petit à petit. Giatus lui eu un peu plus de difficulté à s’endormir il pensait à Asphin, blessé. Il avait confiance en Piervos pour en prendre soin comme il le fallait mais tout de même, il le sentait affaibli. Moins que dans les marécages mais il n’avait pas toute sa force. En espérant qu’il soit bien soigné à Iceot et il savait qu’il y avait de bon guérisseur la bas…



Asphin se reposait sur le cheval pendant que Piervos tenait les rennes, tout en soutenant son frère. Il fallait qu’il se repose, ce vilain monstre l’avait bien mordu. La bataille avait été horrible : d’abord le serpent avait plongé sur Piervos et, à défaut de le mordre, l’avait plaqué au fond du marécage, lui coupant l’air. Piervos était resté deux bonne minutes sous l’eau à ne voir que des ombres à la surface et à tenter de se dégager tant qu’il pouvait, écrasé de plus en plus par le poids du corps du serpent géant. Il ne le sut qu’après mais entre temps le serpent avait attrapé Asphin par les côtes et l’avait soulevé ce qui permit à Asphin de tirer une flèche dans l’œil de la créature, la faisant fuir du même coup et à ce moment là Piervos put remonter à la surface et il avait été temps car quelques secondes plus tard il aurait ouvert ses poumons à l’eau réflexe que toutes les personnes avaient avant de se noyer. Quand il était sortit de l’eau il avait prit la plus grande inspiration de toute sa vie et là il put voir Asphin, flottant à moitié sur l’eau et un moment il crut qu’il était mort mais il ne le sentait pas. Il avait couru vers lui en lui demandant si ça allait et Hélodric l’avait porté à partir de là.

« Une journée et on rencontre déjà un monstre sanguinaire… youpiiiiii… »
« Dit toi que ce n’est que le début » Répondit Piervos.

Comme d’habitude Piervos pensait bien dire et calmer Asphin en disant ça mais c’était tout l’inverse. Asphin fit l’effort de se retourner pour regarder Piervos puis il secoua la tête en signe d’exaspération.

« Quoi?? » Dit Piervos sur un air innocent.
« Rien… » Répondit Asphin tout en rigolant.

Le fait de rigoler lui lançait une douleur dans les côtes ce qui ne faisait pas du bien mais il se montrait fort même si il savait que les autres sentaient aussi sa douleur. Hélas avec un blessé ils ne pouvaient pas se permettre de mettre le cheval au galop ce qui faisait qu’ils n’avançaient pas extrêmement vite et surtout qu’ils mettraient plus de temps à arriver que prévu ce qui n’était pas vraiment une bonne nouvelle. Ils avaient eux aussi traversé la sorte de savane et avaient même croisé quelques troupeaux. D’ailleurs Asphin ne put s’empêcher de prendre son arc et de tuer du gibier qui serait leurs repas du soir mais pas maintenant. Pour essayer d’avancer le plus possible ils firent trotter les chevaux pendant une petite partie de la nuit mais Asphin ne pouvait pas aller à se rythme là.


« Je peux pas dormir sur un cheval Piervos faut qu’on s’arrête et toi aussi t’as besoin de repos !! T’as été une victime du serpent aussi. »
« Pourtant je lui ai crié de me lâcher mais… sous l’eau c’est pas facile! »
« Comme si il comprendrait ce que tu disait. »
« On sait jamais!! »

Asphin sourit devant l’espoir de son frère. Il parlait aux arbres, aux petits poissons visqueux et maintenant aux serpents géants… comme si c’était possible. En plus avec toute cette histoire ils avaient totalement oublié de demander à Argantuo ce qui était arrivé au travesti… Tant pis ils auraient bien d’autre occasion. Piervos aida Asphin à descendre et, après avoir galérer à allumer un feu, ils s’allongèrent tous les deux, regardant les étoiles, écoutant le feu crépiter et au loin la mer s’agiter…




« Je suis seul, encore seul, toujours seul… Pourquoi n’ai-je pas de compagnon avec moi!! »

Un coude posé sur son cheval, la tête appuyé sur sa main, voilà comment Argantuo avançait. Pas la peine de se presser, il devait arriver en troisième et vu comment Piervos conduisait un cheval il pouvait même faire une sieste tous les jours. Non Argantuo avait mit son cheval au galop au début mais il avait arrêté au bout de quelques kilomètres et bien oui il ne voulait pas se dépenser pour rien après tout. En plus il faisait encore cavalier seul!! Ahhh cela l’agacait de savoir que les autres pouvaient parler entre eux et que lui non. Piervos lui si il avait été tout seul il aurait parlé à son cheval ce qui ne venait même pas à l’esprit d’Argan. Il ne put s’empêcher de rire en imaginant l’autre parler pendant des heures à un animal qui ne comprenait même pas ce qu’il disait et c’est vrai que c’était comique. Il se dirigeait vers Vez et tant qu’à faire il avait bien envie de passer la nuit là bas mais il n’y serait sûrement pas avant la nuit, oh non c’était à plus de la moitié du chemin. Quoi que si il avait gardé l’allure du début il aurait put. Il se mit dans la tête d’essayer quand même et il mit son cheval au galop ce qu’il aurait dut faire depuis le début en réfléchissant bien et puis il il devait arriver en troisième il resterait une journée à se reposer à Vez mais ce qu’il ne savait pas c’était ce qu’était devenu la ville. Il se dirigeait vers une ville encré dans les montagnes et où, ces temps-ci, il se passait des choses étranges mais ça il ne le savait pas. Toujours sur le chemin et presque au frontière de la savane il rencontra une bête mais avec qui il n’allait pas faire la discute, là, même si le cheval était fatigué il devrait se montrer très rapide : un tigre à dent de sabre. Ces créatures peut être majestueuse mais tout autant dangereuse. Au début Argantuo ne c’était pas rendu compte de sa présence, ayant permis à son cheval d’aller au trot, c’est quand il entendit un rugissement qu’il se retourna brusquement et qu’il vit la bête courir à toute vitesse vers lui. Pas le temps de réfléchir il fallait faire quelque chose et la première chose qu’Argantuo pensa à faire c’est aller le plus vite possible. Donnant des coups de vitesse à son cheval pour qu’il aille plus vite mais le tigre avait réussit à les rattraper et se trouvait à quelques centimètre de la jambe d’Argan. Jambe qu’il essayait d’attraper de temps à autres. Argan essaya de lui donner des coups de pieds mais rien à faire la bête était têtu. Soudain une idée s’empara d’Argan qui attrapa son sac rapidement. Il en sortit un morceau de viande qu’il avait gardé de la veille et la jeta sur le tigre. Soudain celui-ci s’arrêta et attrapa la viande, la dévorant tant qu’il put. Cela n’était pas grand-chose mais au moins il arrêtait de poursuivre Argantuo et son cheval. Dans un souffle de soulagement il se dit à lui-même:

« Je l’ai échappé bel!! »

Il ne pouvait s’empêcher de regarder toutes les deux secondes en arrière pour s’assurer que le tigre n’était pas repartit à leurs recherches. Le bout de viande qu’il lui avait laissé n’aurait pas calmé sa faim mais Argan avait quitté la savane depuis déjà deux bonnes dizaines de minutes et il imaginait mal le prédateur s’aventurer ici. C’était un endroit presque désertique mais ce n’était pas du sable si de la roche… ça ressemblait plus à de la cendre, comme si un volcan avait éclaté il y avait des années et que de l’herbe renommait à pousser mais le peu de verdure qu’il y avait c’était quelques arbres morts. Il faisait nuit, déjà… Il ne l’avait pas vu avant mais avec les lumières ce n’était plus difficile d’apercevoir la cité de Vez. Pour la construire il avait fallu creuser dans la montagne, faisant un creux dans celle-ci comme si elle avait était croqué par un géant. De ce faire la ville était à l’abris de la pluie mais de temps à autres un rocher tomber dans les rues, faisant ou non un blessé. Argan était impressionné du travail qu’avait du fournir la construction de la ville mais il n’était pas encore arrivé. Il lui fallut encore deux bonnes heures avant cela et le chemin c’était fait de plus en plus difficile à cause de la monté et des gravas sur lesquels son cheval glissait. Il arriva enfin devant la ville et ses portes étaient fermés. Ils c’étaient attendu à ce qu’il y ait du bruit dehors même à cette heure ci mais il n’y avait rien. La ville semblait déserte derrière ses remparts.

« Que faites vous ici?!? »

Quelqu’un avait parlé d’une voix autoritaire sur son côté gauche…
Revenir en haut Aller en bas
Albus Dumbledore
Fonda. MH Rpg
Albus Dumbledore


Nombre de messages : 1307
Age : 33

Pensine
Gallions:
Les sept Fur - Page 2 Left_bar_bleue0/0Les sept Fur - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Année d'étude: /
Sorcier de niveau: 5

Les sept Fur - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Les sept Fur   Les sept Fur - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Mar - 19:01

« Eltumus!! Pousse toi un peu je vois rien!! »
« Mais j’y peut rien si t’as voulu conduire!! »

La situation dans laquelle était Helodric était particulièrement marrante. Il avait tenu à prendre les rennes et c’était placé derrière Eltumus mais le problème c’est qu’Eltumus est l’un des plus grand et qu’à l’inverse Helodric est le plus petit. Du coup il ne voyait pas où il allait et plusieurs fois Eltumus avait dut lui dire de faire attention. Helodric stoppa le cheval, il ne pouvait plus continuer comme ça et il dit à Eltumus:

« Descend… »
« Ah!!!! Tu vas enfin me laisser conduire!! »

Que de fausse illusion qui berçait doucement son esprit. Quand il fut descendu il regarda son frère et, en voyant son regard, compris qu’il n’avait aucunement l’intention de lui laisser diriger le cheval. Il reste plusieurs secondes à le regarder avec un regard suppliant mais Helodric ne comptait pas céder à son caprice.

« Allez remonte derrière! »

Hélodric avait utilisé le ton de l’insistance et une bouffé de vent traversa la plaine. Après avoir insister un minimum Eltumus remonta derrière son frère et ils purent enfin avancer en toute tranquillité en voyant la route tous les deux. Enfin si on pouvait appeler ça une route car ils n’avaient pas eu à traverser la savane comme les autres ils devait trop se rendre au nord. Non c’était la prairie où c’était déroulé les grand combat qu’ils traversaient en ce moment même. Il n’y avait aucune créature vivante dans cette prairie malgré l’herbe verte et les petites fleurs qui la parsemait. Cela sentait bon le printemps même si on était en plein été il y avait une odeur de rosé du matin malgré qu’on soit l’après-midi. Très bizarre mais l’air y était pure en tous cas et les deux jeune homme respirait autant qu’il le pouvait. Ils prenaient leurs temps eux aussi, pas pressé d’arriver les derniers ils étaient au trot et c’était assez. Ce ne fut que le soir qu’ils arrivèrent enfin au niveau des montagnes de Damid. Trois montagnes les unes à côté des autres et ils allaient passer devant par le nord, contrairement à Argan qui lui arrivait au sud des montagnes. Hélodric regarda au loin… les montagnes avait l’air sombre, plus sombre qu’à l’ordinaire et ce n’était pas normal.

« On va s‘éloigner… je ne préfère pas rester prêt des montagnes. »
« Pourquoi? Que se passe t’il? »

Hélodric arrivait à voir loin et en regardant bien il pouvait apercevoir des forme bouger sur les flancs montagneux :

« Regarde » Dit Hélodric en montrant du doigt les formes. « Ce sont des Drows… »
« Mais que font t’il dehors ils ne sortent jamais en temps normal!! »

Hélodric réfléchissait. Les Drows étaient des elfes, on les appelait aussi les elfes noirs. Ils étaient maléfiques et vivaient au fin fond des montagnes… en temps normal. Hélodric avait mit le cheval au pas, pas la peine d’attirer l’attention sur eux mais il se dirigeait un peu plus vers le nord, voulant éviter tout contact avec ces elfes. Il comprit enfin…

« Igero… »

Eltumus le regard non pas avec effrois mais avec étonnement. Pourquoi Igero avait t-il fait appelle aux Drows? La réponse ne se fit pas attendre c’était tous simplement parce q’ils étaient aussi maléfique que lui et qu’il leurs avait donné l’ordre de retrouver les sept Fur, eux. Ce n’était pas une bonne nouvelle, c’était loin d’être une bonne nouvelle et il faudrait prévenir les autres dès qu’ils seraient arrivé. En avançant petit à petit la nuit tomba vraiment et il était temps de se reposer. Il n’y avait pas d’arbre et ils ne purent attacher le cheval mais il était fidèle et ne partirait pas du moins c’est ce qu’affirma Helodric. Eltumus alluma un feu, toujours avec autant de facilité. Il avait toujours deux silex dans son sac et dès le premier frottement il arrivait à produire des étincelles qui allumait le feu, il était arrivé dès la première fois et depuis il ne l’avait jamais raté. Hélodric regarda ça avec admiration:

« Comment tu fais? Moi il me faut plusieurs minutes avant d’allumer un feu et toi on compte en seconde. »
« J’en sais rien j’ai trouvé le truc et ça marche à chaque fois… »

Tant mieux car allumer un feu en urgence n’était pas facile et lui saurais le faire. Ils s’allongèrent tous les deux et s’endormirent enfin…




« Aller Giatus réveilles toi on doit y aller! »

Pour une fois que c’était Yoss qui essayait de réveiller son frère et pas l’inverse. Il était surexciter normalement, si ils se dépêchait un peu ils arriverait sans aucun problème à Corseriga à la tombé de la nuit. Le soleil venait à peine de se lever et ils n’avaient pas beaucoup dormit mais Yoss faisait déjà preuve d’une grande motivation et d’une forme exceptionnel mais quoi de plus normal quand on retourne dans sa ville natale. Bientôt ça serait son heure de gloire du moins il lui le pensait comme ça. C’était lui qui guiderait les autres dans la ville, lui qui irait chercher les différents groupes pour les emmener à l’auberge Lacarphon. Tebazile lui avait demandé à lui et non aux autres et pourquoi? Parce qu’il connaissait cette ville mieux que personne. Rien que de penser à ça le rendait plus heureux que d’habitude. Giatus, qui était enfin levé, comprenait pourquoi il était aussi joyeux et l’onde de bonheur que Yoss envoyait à tout le monde le rendait joyeux aussi. Tant mieux ils passeraient une bonne journée du moins ils l’espéraient. Ils se mirent vite en route pour ce deuxième jours vers la ville labyrinthe comme on l’appelait et ça serait le dernier jour. Yoss était si pressé d’arriver qu’il avait mit son cheval au galop, obligeant Giatus à faire de même. Ils furent comme ça toute la journée et ils ne s’arrêtèrent que le midi et, contrairement à la veille, Yoss était plutôt bavard…

« J’ai hâte d’arriver!! »
« Je ne me souviens pas que tu étais tant attacher à cette ville! »

Yoss détestait cette ville ce n’était pas ça qu’il attendait avec impatiente, tout en mangeant un morceau de pain il lui dit:

« Ce n’est pas le fait d’y retourner qui me rend impatient. On va rencontrer notre oncle, un autre mage comme nous!! Il va pouvoir nous en dire dix fois plus que Tebazile!! Tu crois qu’il sera contente de nous voir? »
« Bien sûr que oui!! Apparemment on est ceux qui doivent détruire Igero donc je vois pas pourquoi il ne serait pas content!! »

Oui… contrairement aux autres personnes dans ce monde eux avaient un destin tout tracé. Ils étaient les sept Fur, les sept magiciens qui devait reprendre le contrôle de la capitale, du pays tout simplement, et veiller sur l’équilibre magique du monde. Que de lourde tâches pour sept garçon si jeune et sans réel pouvoir. A propos de pouvoir Yoss se demandait qu’elle serait le sien, comme tous ses frères. Apparemment ils en auraient chacun un différent et il se demandait si le sien serait mieux ou moins bien que les autres… non chacun aurait son utilité dans le groupe. Il ne fallait plus perdre de temps et il fallait reprendre la route. Avec toujours le même enthousiasme ils reprirent la route vers la ville. Ils y arrivèrent dans la soirée comme prévus. Il y avait toujours de l’agitation à l’entrée mais plus de soldat qu’à l’ordinaire. Yoss descendit un peu plus loin du cheval et entra doucement dans la ville sans se faire voir ce qu’il arrivait à faire à merveille puis Giatus entra avec le cheval sous le regard vigilent des soldats mais il était seul et pour eux ne représentait pas un danger. Il rejoint Yoss, qui c’était mit en position de mendiant, et il fit semblant que lui donner une pièce pour faire croire qu’il le guide.

« Viens c’est par là bas. »

Yoss entraîna son frère à travers la ville, tournant et retournant à chaque rue. Elles se ressemblaient toutes, toutes étaient très étroites et les maisons faites en pierre, d’un gris monotone. Giatus avait réellement l’impression de tourner en rond dans cette ville mais il faisait confiance à Yoss. Celui-ci avait l’air sûr de lui, il savait exactement où il allait. Il avait marché des années dans ses rues et il reconnaissait chaque maison comme étant différente. Giatus était admiratif du sens de l’orientation de son frère:

« Je comprend pourquoi on l’appelle la ville labyrinthe!! »
« Ce n’est rien comparé à ça! »

Il avait montré d’un signe de tête une ruelle perpendiculaire à celle où ils étaient. Ils c’étaient placé en face d’elle, ils n’étaient qu’à trois ou quatre mètres et pourtant ils n’arrivaient pas à apercevoir ce qu’il y avait dans la rue. Elle était encore plus étroite que les autres, à peine la place de laisser passer deux personnes côte à côte. Les maisons avaient l’air abandonné et se penché en avant, touchant le toit de l’autre et ainsi cachant le soleil ce qui rendait la rue encore plus sombre qu’elle ne l’était déjà. Giatus dit tout en ravalant sa salive:

« C’est par là qu’on doit aller? »
« Il y a d’autre entrée mais c’est la première qu’on voit… c’est la partie perdu de la ville. On l’appelle comme ça parce qu’à force de se perdre dedans ses habitants ont tous déménager. En fait la plupart ne retrouvaient pas leurs maisons dès qu’ils sortaient… »

Giatus n’avait pas l’air rassuré et il regarda la rue avec un mélange de curiosité et de peur puis il finit par dire:

« Ben qu’est-ce qu’on attend!?! »

Il souffla et tout deux entrèrent dans la ruelle. Ils eurent quand même du mal à faire avancer le cheval. Ne marchant pas à tâtons mais presque ils mirent du temps à prendre leurs repère. Même Yoss avait l’air perdu mais il fallait faire des recherches.

« Et si on se séparait? »
« Surtout pas Giatus!! On ne se retrouverait peut être jamais!! »

Il avançait, essayant de trouver un indice qui pourrait les conduire à la Taverne mais il n’y avait rien, pas un bout de papier, même pas une pancarte à énigme… Ils n’avaient d’autre choix que d’avancer. Soudain la rue tourna à gauche, toujours aussi serré, il y avait plein de rue en perpendiculaire à celle-là, surtout vers la droite, mais Yoss préférait continuer puis il prit une autre rue à droite. Il avait l’air aussi sûr de lui que tout à l’heure mais en réalité il ne savait pas du tout où il allait. Il fallait simplement aller au cœur de la partie perdu car c’est là qu’il y avait le plus de chance pour trouver la taverne. Yoss ne savait pas où il allait enfin si il se dirigeait vers le centre ça il le calculait quand il tournait. Il savait si il se dirigeait vers l’est ou vers l’ouest ce n’était pas bien compliqué mais il était vrai que ça serait encore plus facile si les ruelles étaient droite et non ondulé ou de travers. Soudain il s’arrêta net.

« Tu entend? »

Il y avait une sorte de bruit de fond venant du loin mais pas derrière eux, le bruit venait de devant. Cette partie était déserte depuis des années ça ne pouvait être que la taverne!! Giatus et Yoss se regardèrent puis ils coururent vers le bruit, entraînant avec difficulté le cheval réticent avec eux, tournant et retournant dans les rues autant qu’ils pouvaient tant que le bruit s’amplifiait. Yoss prenait ses repères en même temps qu’il courait et il laissait le soin à Giatus de se laisser guider par la musique. Ils s’arrêtèrent de nouveau en tournant. La musique était désormais forte et de la lumière sortait d’une petite porte. En s’approchant on pouvait voir que la taverne n’était pas différente des autres maisons il y avait juste la pancarte « Lacarphon » accroché au dessus de celle-ci. Logique que personne n’ai réussit à la trouver jusqu’à aujourd’hui. Ce qui était bizarre c’était qu’il n’y avait pas que de la musique comme bruit mais aussi des voix, la taverne était pleine du mois on pouvait l’entendre à des dizaines de mètres de là même si l’extérieur de la partie perdu ne pouvait pas. Giatus attacha le cheval près de l’entrée. Quand ils rentrèrent dans la taverne ce fut un silence terrifiant qui s’installa. Ceux qui jouait de la musique c’était arrêté, ceux qui buvait avait posé leurs verre. Tous les regards étaient posés sur les deux garçons si différent l’un de l’autre. Ils en devinrent même gêné par cette atmosphère mais pourquoi donc tout le monde les regardait-ils ainsi? Soudain un vieillards descendit l’escalier qui devait mener aux chambre en précipitation. Un petit homme d’un certain âge les regardait tout en descendant. Il dit d’une voix posée et très enthousiaste bien que fatigué.

« Giatus!! Yoss!! Cela me fait tellement plaisir de vous rencontrer… Quand j’ai reçu la lettre de Tebazile j’ai dut la relire au moins… cinquante fois oui c’est ça… avant d’y croire!! »
« Oncle Pet… »

Il était maintenant en face d’eux et ils se rendirent compte à quel point il était petit. Non pas comme ces vieillard qui rapetissait à cause du temps, se recroquevillant. Lui avait l’air en pleine forme pour son âge mais il était petit de taille, sûrement encore plus que Helodric bien que cela choquaient moins car il était âgé. Il avait les cheveux gris et les yeux d’une couleur… bizarre… en regardant d’un peu plus près on pouvait voir qu’il avait les yeux de la même couleur que les écailles de poissons et qu’ils étaient tout aussi globuleux. En regardant bien aussi on pouvait voir qu’il avait une tête de crapaud mais il avait l’air bienveillant et extrêmement gentil. Quand il avait prononcé leurs nom un murmure avait parcourut la salle comme-ci tout le monde les connaissait. Les deux frères regardèrent tout le monde d’un regard étonné tout en étant timide pour vraiment rentré. L’oncle Pet en fit de même puis ils les regarda et leurs dit sur un ton d’évidence:

« Vous ne pensiez tous de même pas que vous étiez seul? »

Alors comme ça tous ses gens étaient de leurs côté? Là pour les aider? Ils n’arrivaient pas à y croire eux qui croyait faire partit d’un cercle privée entre Tebazile, leurs oncles, leur père et eux ils c’étaient rudement trompé. Quand les autres apprendrait cela ça leurs ferait une drôle de surprise!! Ce fut Giatus qui parla en premier:

« Mais… »
« Pas de mais mon garçon les explications viendront demain. Aujourd’hui il faut se reposer!!! Allez en haut la première porte à droite c’est là qu’est votre chambre. »

Les deux garçons voulurent riposter mais Pet qui était plus qu’autoritaire leurs dit d’un ton d’insistance tout en leurs disant au revoir de la main:

« Bonne nuit!! »

Les deux ne purent répondre et se résignèrent à monter se coucher dans leurs chambres. Ils étaient tellement ébahi de ce qu’ils avaient vécu qu’ils ne pensèrent même pas à en parler entre eux. Ils se contentèrent de penser pour eux même et de s’endormir doucement.
Revenir en haut Aller en bas
Albus Dumbledore
Fonda. MH Rpg
Albus Dumbledore


Nombre de messages : 1307
Age : 33

Pensine
Gallions:
Les sept Fur - Page 2 Left_bar_bleue0/0Les sept Fur - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Année d'étude: /
Sorcier de niveau: 5

Les sept Fur - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Les sept Fur   Les sept Fur - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Mar - 19:02

Le soleil commençait à peine à se lever et à chatouiller le nez de Piervos et Asphin. Malgré sa blessure se fut Asphin qui ouvrit les yeux en premier, lentement pour s’habituer à la lumière. Le premier réflexe qu’il eut fut de regarder autour de lui si tout était bien toujours en place et c’était le cas ce qui le soulagea grandement. Il n’y avait aucune raison pour que le cheval ou leurs sacs disparaissent mais quand même il valait mieux se méfier. Asphin, toujours allongé, tapota la torse de Piervos qui se réveilla à son tour en douceur et, étonnement, plus vite que les autres jours. Après tout il fallait se rendre vite à Iceot et avec un peu de chance ils y seraient un peu après midi. Piervos se releva en position assise et regarda à nouveau autour de lui puis son regarda se posa sur son frère, toujours allongé :

« Ça va? »
« Ça pourrait aller mieux mais on fait avec… »

Ils mangèrent un bon morceau de pain puis repartirent sur le cheval quand toutes leurs affaires furent prête. Encore une fois c’était Piervos qui conduisait le cheval et il le faisait à merveille, se demandant pourquoi il n’avait pas fait pareil à l’allée cela aurait été moins compliqué. Ils ne s’arrêtèrent pas pour le midi et Asphin ne contenta de manger la même chose que le matin. Il fallait arriver le plus vite à Iceot et faire des pauses toutes les heures n’était pas la solution ainsi Piervos avait décider de ne plus s’arrêter au grand dam de son frère blessé. Pourtant ils arrivèrent plus tôt que prévu puisque quand ils entrèrent dans la ville le soleil était encore haut dans le ciel. La ville avait l’air très vivante et il y avait des marchands ambulant un peu partout, surtout des marchands de poissons ou de crabe ou autre animal venant des profondeurs des océans. Piervos arrêta le cheval devant un marchand puis il demanda où il pouvait trouver un guérisseur il y eu une réponse rapidement et en plus c’était pas très loin de l’endroit où ils étaient d’après l’homme qui vendait… peu de monde aurait sur dire quoi. Piero dirigea sans plus attendre vers l’endroit et n’eut aucun mal à le trouver grâce aux explications qu’il avait eu quelques minutes plus tôt. De plus il y avait une pancarte en plaqué or, sûrement fabriqué à Vez, avec gravé dessus: Nitram, Guerisseur. Nitram devait sûrement être son nom… Les deux frères descendirent du cheval et Piervos porta Asphin tout en attachant le cheval pour éviter qu’il ne parte. Il monta les escaliers et entra dans la première porte qui était la salle de soin, les autres devait être les salles de repos pour les blessés grave. Il appela:

« Monsieur le guérisseur? Nitram? »

Il n’y avait personne dans la salle. Elle était très éclairé, il y avait un lit en fer avec des objets plus bizarre les un que les autres sur une petite table à côté. Dans une armoire en porte de verre il y avait des parchemins bien entreposés et dans une autre des fioles contenant des liquides de toute les couleurs ou bien des plantes de toutes sortes. Tout l’attirail pour un on guérisseur on l’espérait. Piervos déposa Asphin sur le lit bizarre en fer et il alla dans le couloir pour réappeler.

« Oui?? »

Piervos sursauta et se retourna en vitesse. Comment avait-il fait pour se retour ver dans la pièce sans passer par la porte mais il n’eut pas besoin de demander:

« Désolé j’étais dans la réserve… derrière… là! »

Il montra une porte bien caché par l’armoire à parchemin et Piervos se calma un peu puis il s’approcha de son frère et montra la blessure à Nitram qui s’approcha et examina la plait tout en la tripotant ce qui faisait grimacer Asphin.

« Et bien c’est une grosse créature qui vous mordu… Ça va nécessiter des points!! »
« Des points? » Demanda Asphin.
« Oui je vais vous désinfecter tous ça et ensuite je recoudrais la plaie… »

Il faillit râler mais si c’était la seule chose à faire alors il devait se laisser faire mais malgré tout… ce n’était pas un vêtement mais bon il n’allait pas se faire recoudre comme une vielle chaussette… apparemment si. Piervos ne put s’empêcher de pouffer de rire en voyant Asphin regarder Nitram préparer un aiguille et un fil. Mais d’abord il sortit une bouteille d’agnol, ou d‘alcool pur. Il s’approcha et en versa un peu sur la plaie tout en la tamponnant avec un linge ce qui fit crier légèrement Asphin sous la surprise de la douleur que cela procurait. Le guérisseur le rassura que plus cela faisait mal, plus ça soignait mais Asphin eu du mal à le croire. Après avoir bien nettoyé la plaie et enlever le sang presque sec qui l’entourait Nitram enfila le fil noir et solide dans l’aiguille puis il prit les deux partit opposé de peau et les relia, piquant et repiquant pour refermer les plaies. Il fit ça à chaque endroit où les dents du serpent géant avait transpercé la peau sauf les plus petit qui n’avait pas besoin de ça. Il lui fit ensuite un bandage digne de ce nom et bien mieux réussit que celui d’Argan.

« Il faut vous reposer maintenant. Je refuse que vous partiez avant au moins demain matin!! »

Piervos et Asphin se regardèrent d’un air assez désespéré.. Ils n’arriveraient jamais à l’heure pour retrouver Yoss à Corseriga. Tant pis ils n’avaient pas vraiment le choix Nitram avait l’air très gentil mais les deux jeune hommes se voyait mal lui expliquer pourquoi ils étaient si pressé et ce n’étaient pas les roi de l’excuse ou du mensonge. Nitram et Piervos portèrent Asphin jusqu’à la chambre la plus proche et l’allongèrent sur le lit avec interdiction de se lever sinon il resterait une journée de plus au lit. Avec ce chantage c’est sûr il ne risquait pas de se lever… Ils eurent droit à un repas plutôt copieux pour le remettre sur pied ce qui fut accueillit avec joie. Quand ils furent enfin seul et tranquille ils purent discuter en paix:

« T’es vu c’est bizarre il ne t’as pas demandé comment tu t’es fais ça… »
« Ouai… bah son métier c’est de soigner les gens pas de savoir comment ils sont blessé! »
« Enfin maintenant je sais comment je vais t’appeler… »
« Comment? »
« Chaussette!!! »

Piervos ne put s’empêcher d’exploser de rire et Asphin de râler. Chaussette… comme ci le fait d’être raccommodé comme ça ne le dérangeait pas assez… Ils discutèrent toutes l’après midi de tout et de rien mais surtout du chemin que devaient prendre les autres et où ils en étaient:

« Je suis sûr que Yoss et Giatus y sont déjà… en train de boire un verre avec l’Oncle Pet. Ça doit faire longtemps qu’il n’a pas eu de compagnie. »
« Ouai… et bien si il s’ennuyait il aura de quoi ne plus s’ennuyer maintenant avec ses deux là sur les bras!! »
« Et nous alors je te dit pas… ils vont en avoir du pain sur la planche avec sept apprenti mage. »

Oui c’était pratiquement le sujet principale de leurs conversation de l’après-midi. Le soir venu Nitram vint faire une visite de courtoisie pour vérifier que tout allait bien et pour apporter le dîner à Asphin. Il invita ensuite Piervos à manger avec lui et à laisser son frère se reposer et que vu les rires qu’il avait entendu il n’avait pas du le faire durant l’après-midi. Piervos accepta l’invitation et suivit le guérisseur jusqu’au rez-de-chaussée puis il ouvrit la porte de gauche: c’était là qu’il habitait. Plutôt pratique d’habiter en dessous des malades et blessés cela était bien mieux quand il y avait des urgences. Ils s’installèrent à table, où le dîner était déjà préparé:

« Vous dormirez dans la chambre juste à côté de votre amis. »

Évidemment ils n’avaient pas dit qu’ils étaient frères car c’était un peu risquer en ce moment et ils profitaient de leurs différences pour faire croire à une simple amitié. Ainsi Piervos mangea avec Nitram et ils discutèrent.

« J’espère que la fin de votre voyage vers Corseriga se passera bien… »
« Oui j’espère aussi d’ailleurs…hey mais… je ne pense pas vous avoir dit que nous nous rendions à Corseriga!! »
« Je sais mais moi je suis au courant que vous allez rejoindre vos autres frères. »

Piervos se leva, plus qu’étonné. Comment le savait-il il y avait quelques minutes il le traitait encore comme un étranger:

« Tout à l’heure vous aviez dit que ce n’était que mon ami! »
« Ça c’était parce que ma collègue n’était pas encore parti mais maintenant nous sommes seuls alors… »
« Mais comment êtes-vous… »
« Au courant? Vous croyez vraiment qu’il n’y a personne qui veut se débarrasser d’Igero. La légende des Sept Fur est très connut et beaucoup de personne y croit y compris moi. Pet m’a simplement prévenu que vous passeriez par Iceot c’est tout… Nous sommes assez nombreux à vous attendre!! Et je peux vous assurer que vous nous avez rendu impatient à certain moment. »

Tebazile leurs avez dit qu’ils n’étaient pas seul mais il ne s’attendait pas à ça… il ne pensait qu’à une petite dizaine de personne les aidant…

« Mais… Tebazile ne nous a rien dit. Combien vous êtes? Qu’est-ce qui se passe? »
« Non votre oncle m’a dit de ne rien vous dire de concret il vous expliquera tout quand vous serez tous là-bas. Maintenant expliquez moi comment Asphin c’est blessé… »
« Il c’est fait mordre par un serpent géant lorsque nous traversions les marécages »
« C’est bien ce qui me semblait… allez mangeons et allons nous reposer car nous aurons des jours où le verbe dormir n’aura pas sa place!! »

Piervos ne comprenait pas vraiment ce qu’il voulait dire par là mais il l’écouta et mangea puis il remonta les escaliers et ouvrit légèrement la porte d’Asphin qui dormait à poing fermé. Tant pis il lui raconterait tous ça le lendemain… Il passa une mauvaise nuit à réfléchir à tous ça mais en plus il fut réveillé de bonne heure le lendemain matin par Nitram qui ouvrit sa porte tout en frappant:

« Piervos il est tant que vous preniez la route vous et votre frère. Il serait pas mal que vous arriviez à Corseriga avant le milieu de la nuit. J’ai envoyé un courrier à votre oncle pour le prévenir. »

Piervos ne répondit pas et se contenta de lui faire un signe de tête tout en se levant. La première chose qu’il fit fut d’aller voir Asphin. Apparemment Nitram était déjà passé dans la chambre parce que son frère ne savait pas trop où il en était, il regarda Piervos et lui dit:

« Mais pourquoi il sait tout? On devait le dire à personne!! »
« Mais c’est pas moi!! Il était déjà au courant ne me cri pas après j’y suis pour rien!! »
« Mais comment? »
« Ben apparemment on a pas mal d’allié mais j’en sais pas plus que toi à part qu’il faut partir si on veut arriver à temps… »

Asphin se résigna à se lever en marmonnant que les petits soins qu’il avait reçu ne lui déplaisait pas et qu’il n’avait pas envie de partir mais le fait de savoir ce qu’il se passait vraiment lui donnait plus de motivation que le reste. Ils se mirent donc en route pour la ville labyrinthe.






« Que faites vous ici?? »

La voix c’était répété encore une fois, un peu plus impatiente que la précédente mais malgré ça Argan ne put s‘empêcher de remarquer que l‘homme qui était en face de lui parlait doucement, trop doucement et cela voulait sûrement caché quelque chose. Argan, toujours sur son cheval, s’avança et dit d’une voix des plus naturels:

« Je viens passer la nuit ici pour dormir ça peut arriver à tout le monde… »
« Chhh!! Parlez moins fort, ils vont vous entendre! »

Ils? Mais qui Ils? Le jeune frère se posait soudain des tas de question, pourquoi devait-il parler moins fort il ne comprenait plus rien maintenant. Il descendit de son cheval et s’approcha pour mieux voir celui qui l’avait interloqué… C’était un homme grand, sûrement un forgeron comme la plupart des hommes de la ville, il avait les cheveux mi-long repoussé vulgairement en arrière et une moustache tout aussi mal entretenu e la même couleur que les cheveux donc entre brun et roux. Il avait la peau abîmé et de petits yeux fripés. Soudain des bruits de pas de firent entendre au loin, l’homme paru terrifié et il dit rapidement:

« Suivez moi!! »

Apparemment il ne lui laissait pas vraiment le choix et Argantuo ne put que se résoudre à le suivre. Ils firent à peine quelques mètres que l’homme s’arrêta et se tourna vers le mur puis il appuya sur une pierre qui s’enfonça dans le mur libérant un creux sur le côté dans lequel se trouvait une sorte de poignet. Il la prit et tira vers lui… Une partit du mur se détacha, c’était en fait une porte. Ingénieux se dit Argantuo et il ne put s’empêcher de penser que cela plairait à Eltumus, sans aucun doute. L’homme le poussa à l’intérieur, suivit de son cheval puis il arriva à son tour, refermant la porte. On pouvait entendre le cliquetis et un roulement qui pouvait supposer que la pierre revenait en place toute seule, sûrement un système ingénieux inventé par le petit génie du village. Argan regarda autour de lui, il était dans une étable apparemment privée vu qu’il n’y avait qu’un chevaux et qu’elle n’était pas très grande. Elle était fermé et on ne pouvait pas voir ce qu’il se passait dehors au plus grand regret d’Argantuo qui voulait de plus en plus savoir ce qu’il se passait. L’homme lui fit signe de ne pas parler puis il l’emmena vers une autre porte qui menait à l’intérieur d’une maison. Dans une salle à mangé plus précisément. Elle était éclairé par une lampe à huile posé sur la table qui était au milieu de la salle. En face de la porte il y avait une casserole sur le feu, sûrement une tisane avant le coucher vu l’heure qu’il devait être. Il n’y avait personne d’autre dans la salle et l’homme se présenta enfin:

« Désolé d’avoir été si brutal mais il ne fallait pas qu’on nous voit dehors dans la nuit!! Je m’appelle Reivilo je suis forgeron d’arme. »
« Je m’appelle Argantuo mais qui « Ils? » »
« Les Drows!! Igero fait surveiller les montagnes ainsi que la ville… maintenant il y a un couvre feu et c’est dangereux de se promener ici la nuit vous avez déjà eu de la chance d’être arrivé jusqu’à la ville sans en croisé un surtout qu’apparemment vous veniez de la route principale. »

Argan fit un signe positif de la tête. A part le tigre à dent de sabre il n’avait croisé rien ni personne mais malgré tout ce que disait Reivilo ce qui se passait était grave. Igero ne lésinait pas sur les moyens pour les retrouver et plus le temps passerait plus cela empirerait il faudrait qu’il prévienne les autres dès qu’ils les verraient. Il savait déjà que les villes étaient plus surveillé qu’avant mais si en plus le mage noir faisait appel aux Elfes noirs cela n’arrangerait pas les choses. Les Drows étaient des elfes cruels qui détestait les humains et qui en tuait dès qu’ils en avait l’occasion. Là ils devaient sûrement se retenir car Igero leurs avaient donné des ordres bien précis. Les Drows détestaient autant les autres races d’elfes compté aux nombres de 5 au total. Depuis toujours les humains et les elfes avaient toujours vécut chacun de leurs côté et si il commençait à y avoir une alliance entre les Drows et Igero une nouvelle guerre elfe ne tarderait pas à arriver à moins qu’Argan et ses frères arrive à rallier les autres elfes de leurs côté ce qui leurs apporteraient du soutiens. Asphin pourrait déjà rallier les elfes sylvains vu qu’il avait toujours vécu avec eux. Un couvre feu… c’était inquiétant ce qu’il se passait ici. Après quelques minutes de réflexion il dit:

« C’est pas normal… »
« Ça c’est vrai… »
Revenir en haut Aller en bas
Albus Dumbledore
Fonda. MH Rpg
Albus Dumbledore


Nombre de messages : 1307
Age : 33

Pensine
Gallions:
Les sept Fur - Page 2 Left_bar_bleue0/0Les sept Fur - Page 2 Empty_bar_bleue  (0/0)
Année d'étude: /
Sorcier de niveau: 5

Les sept Fur - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Les sept Fur   Les sept Fur - Page 2 Icon_minitimeMer 19 Mar - 19:02

Il avait parlé doucement et d’une voix mystérieuse. Reivilo se plaça devant la fenêtre et entrouvrit le rideau parfaitement opaque pour regarder dehors. On put voir passer une horde de Drows dans la rue, courant dans la même direction. On ne voyait pas leurs visage car ils avaient des longues capes avec une capuche leurs retombant sur le visage. Reivilo continua:

« Igero sens un danger approcher… une rébellion se prépare quelques part mais il ne sait pas où. Il veut essayer de la contrôler… »

Argan faillit rire de la phrase de Reivilo. Il avait parlé comme si il était au courant de quelque chose et qu’il voulait impressionné le jeune homme. Si le forgeron savait la moitié des choses que savait Argan il se tairait au lieu de dire des bêtises comme il le faisait mais le Fur ne lui dirait rien même si son hôte semblait plutôt content qu‘une rébellion semble se préparer. Il se contenta de poser des questions pour essayer de réunir le plus d’information:

« Comment réagit la ville à l’arrivé des Drows? »
« Les habitants ont peur et ils obéissent à la lettre. Moi y compris il le faut bien sinon ils nous prennent comme sacrifice humain. Ils surveille la totalité des montagnes de Damid mais je me demande ce qu’ils cherchent surtout dans les montagnes!! A part Vez il n’y a pas de ville mais ils ne veulent pas quitter les montagnes et leurs souterrains du moins pas pour l’instant même si Igero leurs a demandé. Enfin pas directement.. »
« C’est-à-dire? »
« C’est Amisohih… le chef des armées. Il est venu il y a de ça quelques jours et il est entrée dans le souterrain des elfes noirs. On pensait qu’il ne sortirait jamais mais il est ressortit et a annoncé un nouveau décret comme quoi il y aurait un couvre feu et qu’il faudrait une autorisation à tout habitant pour quitter la ville et que chaque arrivant serait fouillé et interrogé. On sait tous que les Drows utilise la torture lors des interrogatoires. Mon passage existe depuis des années et je surveille fréquemment quand un étranger arrive pour lui éviter ça!! »
« Vous avez bien raison et je vous remercie!! »
« Qu’êtes vous venu faire ici? »
« Je doit aller à Corseriga et je viens de Melage je m’arrête ici pour la nuit je repart demain. »
« Impossible!! »
« Quoi? »
« Vous ne pourrez pas repartir de jour hélas personne ne peut quitter la ville et il y a tout le temps des Drows dehors. Vous partirez demain certes mais dans la nuit je suis désolé je ne peux pas vous laisser prendre de risque!! »

A un moment Argan avait eu peur qu’il lui dise qu’il ne pouvait plus partir. Tant pis si il voyageait de nuit apparemment il n’avait pas le choix. Reivilo semblait bien au courant de ce qu’il se passait mais il semblait être un petit fouineur. Il se leva et alla chercher la casserole qu’il avait oublié sur le feu. Il versa le contenu dans une coupe en métal.

« Vous voulez une tisane? »
« Non merci… je préférerez allez me reposé j’ai eu une dur journée »
« Vous avez raison surtout si vous devez voyager de nuit!! »

Reivilo se leva et passa dans un couloir à gauche de la cuisine, suivit d’Argantuo. Il arrive au fond et ouvrit une porte pour laisser apparaître une petite chambre composé d’un simple lit.

« C’est pas le grand luxe mais au moins vous serez tranquille »
« Ça sera parfait… merci et bonne nuit. »
« Ouai bonne nuit. »

Le forgeron quitta la pièce et un grincement de chaise se fit entendre, montrant qu’il c’était rassit. Il y avait une fenêtre avec des rideaux fermé, Argan les entrouvrit mais la fenêtre donnait sur une petite rue déserte. Il éteignit la lampe et ouvrit la fenêtre pour regarder, à gauche les remparts rien d’intéressant et à droite une rue plus importante, une rue principale perpendiculaire à celle-ci qui était éclairé. Argan revit un groupe de Drows passer à toute vitesse dans cette rue mais ils ne le virent pas. Il ferma la fenêtre et s’allongea dans le lit mais dormir pour l’instant était impossible il réfléchissait trop. Sa tête était inondé de pensée et il se plongea dans la réflexion comme ça jusqu’au petit matin quand les premiers rayons du soleil vinrent percé le petit trou qu’il y avait dans le rideau. Il se tourna du côté de la porte et ferma enfin les yeux. Reivilo je vint pas le réveiller, pensant sûrement qu’il préférait se reposer pour mieux voyager la nuit ce qui était en parti vrai. Il ne frappa qu’à la porte le soir venu, sortant Argantuo d’un sommeil profond. Il ouvrit les yeux en levant rapidement la tête mais il ne répondit pas de suite, il regarda la fenêtre, il faisait nuit.

« Oui!! »

Reivilo entra dans la chambre et dit:

« J’ai pensé que vous auriez faim et que voudriez préparer votre voyage. »
« Vous avez eu raison je m’étais assoupi… »

Il se leva et se frotta le visage en signe de fatigue puis il suivit Reivilo dans la cuisine. Celui-ci avait posé deux assiettes sur la table et il servit Argan. Celui-ci commença à manger mais c’était trop silencieux:

« Vousvivez seul? »
« Oui… Avant je vivais avec ma sœur mais elle c’est marié il y a peu de temps. Depuis je suis seul mais je trouverais bien une femme un jour!! »
« On a encore toute la vie devant nous pour ça… »

Ils commencèrent à parler de tout et de rien, de femme, d’alcool, de ce que les hommes pouvait parlé. Reivilo n’était pas vieux il avait vingt-cinq ans et il était né à Vez, il avait repris la boutique de son père et il fabriquait des armes comme presque tout le monde ici. Ses parents étaient morts… en même temps la mortalité de Vez était très jeune à cause des mines et des gaz qui s’échappait des métaux en fusions mais le forgeron affirmait qu’il aimait ce métier et qu’il voulait pas partir. Deux heures plus tard il était temps de partir pour Argan. Il prépara le peu d’affaire qu’il avait sortit puis ils se rendirent dans l’étable et il détacha son cheval en l’emmenant devant la porte. Reivilo poussa simplement et la porte de pierre coulissa simplement vers l’extérieur. Argan sortit en regardant bien à gauche et à droite qu’il n’y avait personne puis il sortit. Il se retourna et dit rapidement:

« Merci »

Reivilo ne prit même pas le temps de répondre et lui fit signe de se dépêcher avec un sourire comme pour lui dire « Y’a pas de quoi ». Argan ne prit pas le chemin de la route mais descendit la montagne plus vers l’ouest comme le lui avait conseillé son hôte. Il se souviendrait de lui… il ne croisa personne jusqu’en bas de la montagne ce qui le soulagea il n’avait pas vraiment envie de rencontrer les Drows. Il n’était toujours monté sur son cheval pour l’instant il préférez aller doucement et ne pas risquer de se faire voir dans la nuit noire. Il repartit vers l’Est et il ne monta sur son cheval que lorsqu’il fut arrivé à l’extrémité de la montagne et à ce moment là le soleil était déjà levé. Il avait passé la nuit à éviter les hordes de Drows en allant le plus doucement possible mais il n‘était retardé. Normalement Asphin et Piervos devait arriver dans la journée à Corseriga et lui arriverait sûrement le lendemain matin en espérant que Yoss soit présent…




La journée fut longue pour Helodric et Eltumus. Évidemment c’était les deux à avoir le plus de chemins à faire pour arriver à leurs destinations et tous ça pourquoi? Ils ne le savaient même pas, si il faut leur Oncle ne leurs apprendrait rien de nouveau et ils seraient de nouveau bloqué ce qui, rien que d’y penser, mettait Hélodric dans une colère folle et même si il ne le montrait pas physiquement Eltumus le sentait bien. C’était le deuxième jour et il leur en faudrait sûrement deux autres pour arriver à Corseriga… Pourquoi devait-il mettre plus de temps que tous les autres? Oh oui Tebazile leurs avaient bien expliquer l’importance que sept jeunes garçons du même âge n’arrivent pas en même temps à la ville même par des portes différentes mais quand même si ils devaient faire ça à chaque fois cela leurs feraient perdre du temps. A la fin de la journée Hélodric et Eltumus était presque arrivé au niveau de la deuxième montagne mais ils voyageaient loin de celle-ci pour éviter les Drows. Hélodric les avaient déjà croisé un jour avec son campement mais ils n’avaient pas été très hostile ce jour là et aucune bagarre n’avait eu lieu. En même les temps les Nipach était une race réputé pour être des combattant redoutable donc il valait mieux ne pas s’y frotter.

« Je suis content nous n’avons croisé personne… »
« Oui mais ça risque de pas durer. »

Hélodric se retourna vers son frère qui regardait en direction des montagnes et Hélodric en fit de même. Plusieurs chevaux avançait vers eux à grand galop. Ils étaient monté par… on ne pouvait pas vraiment voir car ils portaient des capes mais ils s’en doutaient fortement : c’était des elfes noirs. Ces créatures qu’ils avaient évité toute la journée arrivait vers eux à une vitesse impressionnante. Eltumus donna un petit coup de coude à Hélodric comme pour lui dire de fuir mais il ne fallait pas sinon ils se ferait poursuivre et les Drows seraient plus rapide. Il ne leurs fallut pas plus de dix secondes pour que le groupes d’elfes, une quinzaine environ, s’arrête. L’un deux s’avança plus que les autres, apparemment le chef de ce groupe, puis il leurs dit:

« Descendez de vos chevaux. »

Eltumus eu un frisson et il y avait de quoi. La voix des Drows étaient glacial, grave, irréel mais pourtant bien présente, cassé par la même occasion ce qui donnait l’impression qu’on avait à faire à un démon. Hélodric et Eltumus s’exécutèrent et descendirent puis le plus petit des deux frères prit son courage à deux mains et dit, regardant le chef bien qu’il ne pouvait pas voir ses yeux ni son visage à cause de la capuche qui descendait sur ses yeux et de la nuit qui commençait à tomber:

« Pourrais je savoir ce qu’on a fait pour être ainsi interloqué? »

Sans même prendre la peine de répondre il se tourna vers deux de ses compères et leurs fit un geste rapide. Les deux descendirent et se dirigèrent vers les chevaux puis ils commencèrent à fouiller les sacs. Cela n’inquiéta pas les deux frères car il n’y avait rien d’important dedans. Le chef regardait ses « prisonniers » du moment et ils leurs demanda:

« Êtes vous frères? »
« Qu’Est-ce que cela peut vous faire? »

Hélodric en avait du courage et Eltumus le regarda comme si il venait de signer leurs arrêt de mort mais son frère ne flanchait pas, regardant le Drow avec des yeux noirs et rempli de haine. Soudain le vent se leva, faisant voler les capes des Drow et effrayant les chevaux. Tout le monde pouvait sentir que ce vent n’était pas naturel et les autres elfes se tournèrent vers leurs chef, autant terrifié par ce qu’il pourrait faire que les deux voyageur. Il descendit de s’approcha doucement d’Hélodric, on avait l’impression qu’il glisser sur le sol même si on pouvait voir qu’il marchait mais il était terrifiant. Il était à quelques centimètre d’Hélodric et il parla tellement près de son visage qu’il put apercevoir les yeux rouges flamboyant malgré la noirceur du lieu et la capuche:

« Cela pourrait me donner faim ou au contraire me couper l’appétit… alors? Êtes vous frère? »
« Non… mais j’espère que vous ne mourrez pas de faim à cette nouvelle… »

Le vent s’arrêta et la tension qui c’était levé disparu petit à petit. Le chef remonta sur son cheval et fit signe aux autres de le suivre puis ils repartirent en direction des montagnes. Hélodric qui n’avait pas flanché une seule seconde s’appuya sur le cheval et dit, soulagé:

« J’ai vraiment cru que là c’était la fin!!! »
« Tu es fou… tu es définitivement fou. Tu te rend compte que tu as provoquer un Krownight. Ils sont plus puissant et surtout plus cruel que les autres!! »
« Je sais… enfin je l’ai compris quand j’ai vu ses yeux rouges. Les Drowiers ont des yeux noirs eux… »

Les Drows avec eux aussi une hiérarchie. Les Krownight était des sortes de chef de guerre, ils commandent les armées et sont très puissant alors que les Drowiers sont de simple combattant, facile à tuer et moins intelligent mais redoutable quand ils sont commandé quand même.

« En plus les elfes ont une très bonne mémoire et je suis sûr que si tu le recroise il se souviendra de toi!! Je te le dit tu es fou!! »
« Oui mais au moins ils sont partit. Je pense qu’on devrait changer d’endroit et dormir pour la nuit. »

Eltumus acquiesça d’un signe de tête et ils remontèrent tous les deux sur le cheval pour repartir. Après une bonne trentaine de minute ils s’arrêtèrent de nouveau et cette fois, la nuit était vraiment tombé. Ils descendirent mais Eltumus n’alluma pas de feu sous l’ordre de son frère et, voyant son regard interrogateur, il lui expliqua:

« Je ne voudrais pas que notre cher amis nous cherche cette nuit pour se venger de l’insulte que je lui ait faite et qu’il nous retrouve facilement grâce au feu que tu aurais fait… »
« Pas bête effectivement. Tu imagine quand on dira ça aux autres? »
« Oh tu sais je pense qu’il en auront autant à nous raconter chaque chemin apporte des aventures différentes et si il faut ils ne seront pas si surpris de ce qu’il nous ait arrivé »
« Quand même tu as osé défier un Krownight moi je dit c’est pas rien. »

Hélodric fit un petit sourire de satisfaction. C’est vrai qu’il n’y avait que peu de gens qui aurait osé faire ce qu’il avait fait mais ce n’était pas un exploit, non c’était loin d’être un exploit mais il espérait avoir l’occasion d’en faire, plus tard qui sait…







Voilà désolé c'est long et hésitez pas à me donner vos commentaires ^^ Comme d'hab c'est pas corrigé
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Les sept Fur - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: Les sept Fur   Les sept Fur - Page 2 Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 
Les sept Fur
Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Marauders Hogwarts :: Discussion et détente :: Fan Fiction :: Vos fictions-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser