Dehors (pv Andromeda/Rod)

Lorsqu'ils sortirent, Rodulphus l'emmena loin des habitations, là où personne ne les verrait. Il neigeait et les pas étaient visibles, il lança un sort et les pas furent balayés par le vent disparaissant aux yeux des autres.
Il lâcha Andromeda et la gifla avec force la faisant tomber.

"Tu vois ! J'arrive toujours à mes fins ! ...Crie autant que tu veux maintenant, personne t'entendra !"

Il sourit fier puis ajouta.

"Je peux être très sympathique quand je veux ! Et je sais encore mieux jouer la comédie quand il le faut mais... maintenant, tu vas comprendre ce qui me rapproche tellement de ta soeur !"

Il lui lança dans un premier temps un endoloris souriant. Il relâcha son sort et rit amusé.

"Eh, bien ? t'ai-je prise au dépourvu ou dois-je attendre simplement ceci de la fameuse traitresse Andromeda ? hmm? ...Allez debout ! Et bats-toi ! Tu fais encore plus déshonneur à ta famille !"

Ils étaient arrivés dehors. Rodolphus serrait tellement sa main qu'elle ne la sentait plus.
Rodolphus se pencha pour murmurer quelques mots à l'oreille d'Andromeda :

"Ne t'y tente pas ! Je sais très bien calmer les ardeurs des jeunes femmes d'en ton genre, et puis... ça m'amusera plus que tu ne le crois!"

Quand il caressa sa joue, Andromeda sentit un frisson parcourir son échine. Puis il la tira au dehors la serrant toujours à lui. Andromeda était désespérée. Il ne comptait pas la lâcher. Elle le savait. Il allait l'emmener loin de la foule et la torturer.

* Bon sang, songea-t-elle, la famille m'a déjà fait assez de mal comme ça. Ils ne peuvent pas me laisser tranquille? Ils ne pouvaient pas me renier et on s'arrête là? *

Que pouvait-elle faire à présent? Andromeda réfléchit à toute vitesse pendant que Rodolphus l'emmenait dans un coin isolé de la rue. Il voulait lui faire du mal, loin du regard des autres. Il effaça même leurs traces de pas dans la neige à l'aide d'un sortilège.
Enfin, Rodolphus lâcha Andromeda. Avant qu'elle ait pu songer à esquisser le moindre geste, il la gifla avec tant de force qu'elle bascula. À terre, elle décida de refuser de se laisser aller au désespoir et de ne surtout pas montrer sa peur.

"Tu vois ! J'arrive toujours à mes fins ! ...Crie autant que tu veux maintenant, personne t'entendra !"

Andromeda s'apprêtait à relever la tête quand il ajouta, sur un ton de démence :

"Je peux être très sympathique quand je veux ! Et je sais encore mieux jouer la comédie quand il le faut mais... maintenant, tu vas comprendre ce qui me rapproche tellement de ta soeur !"

Et il le fit. Il lança un Endoloris et Andromeda se plia en deux, se mordant la lèvre et gémissant. La douleur était intense. Jamais elle ne l'avait éprouvée à ce point. Mais elle savait que Rodolphus n'avait pas encore utilisé toute sa puissance. Enfin, il relâcha son sort.

"Eh, bien ? t'ai-je prise au dépourvu ou dois-je attendre simplement ceci de la fameuse traitresse Andromeda ? hmm? ...Allez debout ! Et bats-toi ! Tu fais encore plus déshonneur à ta famille !"

Andromeda s'efforça de se relever. Quand elle y parvint, elle redressa fièrement la tête et s'adressa à son beau-frère :

"Moi, je fais encore plus déshonneur à ma famille? Et toi, on ne t'a pas appris les bonnes manières, Rod? On ne t'a pas appris qu'il ne fallait jamais frapper une femme ou se battre en duel contre elle? Tu n'es pas dégoûté de m'avoir simplement là, face à toi? Que dirait cette chère Bella si elle savait que tu as osé me prendre par la main et me serrer contre toi? C'est une femme très jalouse, tu sais... En plus, c'est avec sa soeur... la traîtresse... Moi, je n'ai pas envie de me battre. Qu'est-ce que tu attends? Je ne me défends pas, je te laisse le champ libre. Eh bien? Tue-moi, Rodolphus. La mort n'est rien, comparée aux souffrances que j'ai éprouvées dans ma vie. Ce serait presque un soulagement. Tu es choqué, Rod? La traîtresse se laisse abattre? Non, elle perd avec honneur et dignité. J'attends, Rodolphus. C'était ce que tu voulais, non? Alors, vas-y. Tue-moi. Mais raconte bien toute l'histoire à Bella... et elle ne voudra même plus t'approcher parce que tu m'as touché..."

"Moi, je fais encore plus déshonneur à ma famille? Et toi, on ne t'a pas appris les bonnes manières, Rod? On ne t'a pas appris qu'il ne fallait jamais frapper une femme ou se battre en duel contre elle? Tu n'es pas dégoûté de m'avoir simplement là, face à toi? Que dirait cette chère Bella si elle savait que tu as osé me prendre par la main et me serrer contre toi? C'est une femme très jalouse, tu sais... En plus, c'est avec sa sœur... la traitresse... Moi, je n'ai pas envie de me battre. Qu'est-ce que tu attends? Je ne me défends pas, je te laisse le champ libre. Eh bien? Tue-moi, Rodolphus. La mort n'est rien, comparée aux souffrances que j'ai éprouvées dans ma vie. Ce serait presque un soulagement. Tu es choqué, Rod? La traitresse se laisse abattre? Non, elle perd avec honneur et dignité. J'attends, Rodolphus. C'était ce que tu voulais, non? Alors, vas-y. Tue-moi. Mais raconte bien toute l'histoire à Bella... et elle ne voudra même plus t'approcher parce que tu m'as touché..."

Rodolphus ne put que rire, rire amusé, rire de folie, rire tout simplement.

"Mais ma pauvre Andromeda crois-tu sincèrement que tu m'attires ? Il n'y a que Bellatrix qui compte, elle n'est pas ma femme pour rien ! Et, elle me connait suffisamment pour savoir qu'il n'y a pas plus grande qualité dans Rodolphus Lestrange que sa fidélité !"

Il pointa baguette sur elle et lui lança un nouveau endoloris mais cette fois plus dure, plus fort.

"Et, cette débilité Andromeda ! Cette débilité de croire que te toucher m'affectera de ta stupidité, c'est vraiment très caractéristique de ta personne : tu n'est qu'une idiote !"

Rodolphus rit, d'un rire de démence qui fit frissonner Andromeda.

"Mais ma pauvre Andromeda crois-tu sincèrement que tu m'attires ? Il n'y a que Bellatrix qui compte, elle n'est pas ma femme pour rien ! Et, elle me connait suffisamment pour savoir qu'il n'y a pas plus grande qualité dans Rodolphus Lestrange que sa fidélité !"

Andromeda allait répliquer qu'elle savait parfaitement qu'entre eux deux il n'y avait rien d'autre qu'un profond dégoût réciproque, mais il lança un autre sortilège plus dur.
Elle hurla. La douleur dépassait tout ce qu'on pouvait imaginer, tout ce qu'on pouvait supporter. Elle se tordit dans tous les sens, haletante, faisant tout son possible pour résister à la souffrance.

"Et, cette débilité Andromeda ! Cette débilité de croire que te toucher m'affectera de ta stupidité, c'est vraiment très caractéristique de ta personne : tu n'est qu'une idiote !"

Andromeda se mordit les lèvres puis parvint enfin à prononcer quelques mors d'une voix hachée :

" Tu... changes de sujet... Rodolphus. Mal élevé... Bon sang, qu'est-ce que tu attends... pour me tuer, Rod? "

« Tu... changes de sujet... Rodolphus. Mal élevé... Bon sang, qu'est-ce que tu attends... pour me tuer, Rod? »

Il arrêta la torture et la gifla avec force.

« Tu n’as aucun droit de m’appeler de cette façon, tu entends ? »

Il la prit par la gorge et la souleva.

« Crois-tu que je vais te tuer aussi rapidement ? …Tu ignores tout d’une bonne torture. Il faut prendre le temps de s’amuser avec son prisonnier ! …Bellatrix ne te l’a pas enseigné ? C’est dommage, n’est-ce pas ? »

Il serra progressivement sa gorge et sourit amusé.

« Tu sais… j’ai une bonne idée ! …On va aller… s’amuser au manoir ! Bellatrix serait heureuse de te voir ! »

Rien que d’y penser, il en riait déjà

« Oh, oui… une chasse à l’homme, il n’y a rien de mieux pour s’amuser ! »